À une gestion technocratique de l’environnement promise par le développement durable, André Gorz oppose un écosocialisme alliant justice sociale et respect de l’écosystème, fondé sur l’idée de décroissance productive.
À l’ère de l’urgence économique, Françoise Gollain démontre la pertinence de ses propos, notamment sur la distribution équitable des ressources et la réduction du temps de travail.
