Corso Bramard est le plus jeune commissaire d’Italie. Un homme aussi insondable que les montagnes piémontaises, et dont les intuitions s’approchent de la clairvoyance. Sa vie se dissout lorsque Automnal, un tueur en série s’en prend à sa femme et à sa fille.
Vingt ans plus tard, Corso, désormais enseignant, vit dans la campagne turinoise et passe son temps à grimper en montagne. Pourtant, il reste quelque chose de bien vivant en lui : l’obsession de mettre la main sur son ennemi. Car l’assassin continue à le narguer en lui envoyant par la poste des extraits d’une chanson de Leonard Cohen. Dix-sept lettres en deux décennies.
Mais cette fois, dans la dernière, Automnal commet une petite erreur. Juste de quoi ouvrir la brèche, dans laquelle Corso Bramard va s’engouffrer avec toute la force du désespoir.
Passionnant premier tome d’une série noire qui nous vient d’Italie avec un antihéros aussi charismatique qu’émouvant.