De retour dans son pays natal après une longue absence, une femme prend soin de sa mère tombée malade. La veille de son hospitalisation, sa fille lui fait une promesse : l’emmener à Montauk, quand tout ira mieux. Mais comment voguer jusque-là ?
Boussole pour éviter la chute et déjouer l’urgence, l’écriture dessine la route vers ce lieu inconnu, au détour des trajets et des souvenirs réveillés par les souffrances de la mère. Montauk se révèle être une utopie du calme, du bruit aboli, de la parole retrouvée. Un lieu où, enfin, entre une mère et une fille, tout est simple.
Journal d’une tempête, Voir Montauk est une déclaration d’amour, où l’ironie et la poésie fendent la glace clinique des hôpitaux.
mais il faut d’abord que j’apprenne ta mort, que j’apprenne à te laisser mourir, que j’arrête de dire non comme le font toujours les mamans