Partir en montagne, seul, sans regarder derrière soi. Pas à pas, au rythme de la marche, s’imprégner du silence. S’ouvrir à l’immensité et dilater ses sens. Traverser les pâturages, gravir les pierriers, suivre les lignes de crête et s’élever. Vibrer dans le vent, s’effacer dans l’aube, fouler la terre de ses pieds et boire l’eau fraîche des torrents. Transpirer, respirer, sourire et se sentir vivant.
Un très bon premier roman dans et sur la montagne.