Quelle est la place des marqueurs mémoriels (statues, noms de rue, etc.) dans l’espace public ? Comment aborder la question de la mémoire dans une perspective antiraciste, décoloniale ou féministe dans les écoles ?
À l’heure où les statues, plaques commémoratives ou noms d’établissements scolaires font l’objet de contestations, de revendications et de gestes militants, où la place des marqueurs mémoriels dans l’espace public est interrogée dans une perspective antiraciste, décoloniale ou féministe, ce livre donne des pistes et revient sur des expériences menées en classe par des enseignant·es.
Les intervenant·es :
Valérie Opériol est chargée d’enseignement à l’Université de Genève en didactique de l’histoire.
Aurélie de Mestral est collaboratrice scientifique et chargée de cours en sciences de l’éducation à l’Université de Genève.
Federico Dotti travaille dans le domaine du handicap en tant qu’éducateur spécialisé et est chargé de cours à l’Université de Genève.
Sosthène Meboma est docteur en histoire et enseignant d’histoire et de théorie de la connaissance à la Fondation école internationale de Genève (FEIG).